Proposition de loi visant à responsabiliser les opérateurs en charge du déploiement de la fibre optiqueRecevoir des alertes

Garantir l'accès au très haut débit est un impératif pour réduire la fracture numérique à laquelle notre pays est confronté. En témoigne la priorité donnée par le Gouvernement à la transition numérique dans le cadre du Plan de relance suite à la crise sanitaire, qui a entraîné un essor du télétravail : le raccordement à la fibre optique participe pleinement à l'attractivité des territoires. Plus globalement, le contexte géopolitique actuel nous montre, si besoin était, combien les réseaux sont stratégiques pour la souveraineté d'un pays. C'est pourquoi le Gouvernement est pleinement engagé dans le plan France Très Haut Débit, qui vise à couvrir l'ensemble du territoire en très haut débit d'ici 2022, puis en fibre optique d'ici 2025. Le texte évoque la difficulté accrue des utilisateurs à se connecter à internet, les nombreux griefs contre les opérateurs, et la solution proposée pour mieux contrôler l'activité des intervenants en instaurant une certification obligatoire et limiter les rangs de la sous-traitance. La garantie d'une connexion internet très haut débit est essentielle pour réduire la fracture numérique. Le gouvernement s'est engagé dans le Plan France Très Haut Débit qui vise à couvrir l'ensemble du territoire en très haut débit d'ici 2022, puis en fibre optique d'ici 2025. Nombreux sont les Français qui interpellent leurs élus sur les difficultés qu'ils éprouvent à bénéficier de la connexion Internet. Des dysfonctionnements récurrents, notamment en Essonne, qui peuvent priver certains d'entre nous d'un accès internet pendant plusieurs semaines voire mois, et qui conduisent à des situations grotesques. Afin de mieux contrôler l'activité des participants, le premier article propose d'encadrer leur formation en instaurant une certification obligatoire pour toute personne travaillant sur les réseaux pouvant garantir leurs compétences, notamment de raccordement. Aussi, l'article entend aussi limiter les rangs de la sous-traitance.