Proposition de loi visant à lutter contre la précarité de la jeunesse par l'instauration d'une allocation autonomie universelle d'études
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Déposé le 05/10/2023
Monique de Marco,GESTEn savoir plus
De quoi s’agit-il ?
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Résumé officiel
En résumé, linsécurité étudiante en France s'est aggravée avec 46% des étudiants sautant les repas pour des raisons financières, affectant leur réussite et leur santé mentale. Ce problème touche toutes les classes sociales, le revenu moyen des étudiants étant de 919 euros. La principale dépense pour les étudiants est le logement, qui ne couvre que 7% des besoins. Les autorités locales augmentent l'aide pour surmonter les limites de la solidarité nationale, soulignant la nécessité d'une réponse plus forte de l'État pour lutter contre les inégalités sociales croissantes dans le pays. En résumé, l'aide familiale représente 42% des ressources des étudiants, dont 40% travaillent en parallèle de leurs études. Le système actuel de bourses d'études ne répond pas efficacement à l'égalité d'accès à l'enseignement supérieur, ce qui augmente la précarité des étudiants non boursiers. Les réformes ont été insuffisantes et la nécessité d'un changement structurel est évidente. Une proposition de loi vise à introduire une allocation autonome, inspirée par les recommandations des syndicats étudiants, des économistes et des présidents d'université, pour aider les familles en difficulté. Le gouvernement français envisage d'introduire une \allocation d'autonomie\" pour les étudiants et apprentis âgés de 16 à 25 ans, fixée à 78% du salaire minimum de croissance. La proposition vise à démocratiser l'accès à l'enseignement supérieur et à soutenir l'indépendance financière des jeunes. Le financement de cette réforme pourrait aller de 6,5 à 34 milliards d'euros, dans le but de rendre les programmes existants plus efficaces en ciblant directement les étudiants. Les jeunes Danois ont confiance dans l'État, avec un soutien financier visible pour les jeunes par le biais d'aides au logement et de politiques telles que l'allocation universelle pour l'autonomie d'étude, tandis que les politiques françaises de soutien aux jeunes, comme le soutien de l'État aux contrats d'apprentissage, font face à des critiques pour être infrastructurelles, insoutenables et surfinancées. Les dépenses fiscales pourraient contribuer au financement de ces allocations, avec des ajustements du quotient familial, des réductions d'impôt et des déductions d'impôt pour la pension alimentaire.
La position des autres citoyens
Le commentaire le plus récent
Comme c'est déjà le cas depuis des décennies dans certaines universités privilégiées
Le TOP commentaire POUR
Les études, dans des conditions correctes, ne doivent pas être réservées qu’aux nantis.
Le TOP commentaire CONTRE
"Universelle", il est là le piège...
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