Proposition de loi visant à favoriser l’accompagnement psychologique des femmes victimes de fausse couche
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Déposé le 17/01/2023
Sandrine Josso,MODEMEn savoir plus
De quoi s’agit-il ?
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Synthèse générée automatiquement
Résumé officiel
La perte d'une grossesse est un événement traumatisant qui touche chaque année une femme sur quatre en France. Une étude médicale récente a révélé que près d'une femme sur trois souffre de stress post-traumatique, d'anxiété et de dépression après une fausse couche. Malgré les difficultés émotionnelles liées à un tel événement, peu de soutien psychologique est proposé, mais un projet de loi est désormais en place pour favoriser le soutien psychologique de ces femmes, les informer de sa disponibilité et s'assurer qu'il est pris en charge par l'assurance maladie.
La position des autres citoyens
Le commentaire le plus récent
trois jours d'arrêt pas plus, mieux vaut se changer les idées plutôt que de pleurer seule chez soi. Si il y a un arrêt il devrait être proportionnel aux nombres de mois de gestation interrompue. Une fausse couche dans les 3 premiers mois n'est pas comparable à une faite lorsque le bébé est viable ... 6 mois et plus d'autant plus qu'il y a obsèques et inscription de l'enfant thé sur le livret de famille. Il devrait donc y avoir 3 catégories: - trois premiers mois : 3 jours - trois à six mois: 5 jours - 6 mois et plus : 7 jours.
Le TOP commentaire POUR
parce que j'ai vécu celà 4 fois sans aucun soutien, pas même de mon mari. malgré cela j'ai eu 3 enfants dont un prématuré.. je suis une victime du distilbene qu'on a prescrit à ma mère lors de sa grossesse.
Le TOP commentaire CONTRE
ce n’est pas une priorité , d’autres sujets cruciaux sont à traiter en priorité
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